La petite fille qui avait avalé un nuage comme la tour Eiffel – De Romain Puertolas

12884557_793805217429513_356143194_nLe jour où Providence doit se rendre à Marrakech pour ramener Zahera, une petite fille gravement malade qu’elle vient juste d’adopter, un volcan se réveille en Islande et paralyse le trafic aérien européen empêchant tout avion de décoller. L’amour d’une mère est-il assez fort pour déplacer les nuages ?

La chronique de Lisa

Je fais partie de ceux qui ont adoré  » L’extraordinaire voyage du fakir coincé dans une armoire Ikea » , j’ai donc commencé avec plaisir cette lecture.

Et je dois dire que je n’ai pas été déçue, Romain Puertolas à l’art de transformer une histoire banale en conte doux et agréable à lire. C’est joli et poétique, avec des personnages attachants et une histoire loufoque semblable à celle du Fakir.

C’est l’histoire de Providence, qui doit se rendre à Marrakech pour adopter une petite fille et qui se retrouve coincée à Paris à cause du fameux volcan Islandais qui s’est réveillé et elle va tenter tout son possible , voir même l’impossible pour rejoindre sa fille.

Les chapitres sont courts et dynamique, on ne s’ennuie pas une seconde,le style est simple et clair avec de l’humour souvent présent dans le livre,  la fin est très surprenante, pour une fois, on ne sent pas vraiment où l’auteur veut nous emmener avec cette histoire déjantée.

Le seul point négatif est que l’auteur nous étale sa culture dès qu’il le peut et parfois c’est un tout petit peu lourd durant la lecture.

En conclusion j’ai retrouvé l’humour et les mêmes effets de style que j’avais adoré dans l’extraordinaire voyage du Fakir avec une histoire plus profonde, humaine et plus touchante que la première.

Extraits - copie

 » Mais l’erreur est humaine. C’est pour cela qu’il y a des gommes au bout des crayons à papier. »

 » La vie c’était un peu comme la mayonnaise. Faite de choses simples, comme des jaunes d’oeuf et de l’huile, et qu’il ne fallait surtout pas brusquer mais qu’un effort régulier transformait en le plus savoureux des mélanges. »

 » Il faudrait toujours avoir un moine tibétain dans la poche en cas d’urgence, de dépression, de manque de foi ou de confiance en soi. »

22 commentaires

  1. Je l’avais bien aimé aussi, j’ai trouvé qu’il était un peu plus profond et parfois plus audacieux que le « Fakir ». Pourtant je préfère le premier, plus drôle et déjanté. Par contre son nouveau avec Napoléon ne me tente absolument pas.

    Aimé par 1 personne

  2. Je fais partie d’une catégorie à part: je n’accroche pas.
    Ni au Fakir, ni à la Petite fille. Puertolas m’ennuie….
    Je ne sais pas s’il « étale sa culture » ou s’il fait semblant d’en avoir (et la culture, comme la confiture, c’est connu, moins on en a, plus on tente de l’étaler….^^) mais j’ai simplement envie de le secouer, cet auteur.
    Non, vraiment pas…..

    Aimé par 1 personne

      1. Et comme je le disais, c’est simplement mon avis, bien sûr ^^
        Mais c’est très bien si l’auteur vend des livres (je ne critiquerais jamais le fait de réussir à écrire, à se faire publié et à trouver son public, loin de là)

        Aimé par 1 personne

  3. J’ai beaucoup entendu parlé de cet auteur, et je l’ai vu au salon du livre de Paris, il est très humain dans sa façon de communiquer avec ses fans, il est super marrant aussi, enfin bref, son caractère à lui seul m’a donné envie de découvrir ses romans ^^

    Aimé par 1 personne

Un petit mot ?