La jeune fille sous l’olivier de Leah Fleming

Au cœur de la Seconde Guerre mondiale, sous un ciel crétois strié de bombes, une femme doit choisir entre deux hommes… Dans la lignée de Kate Morton et de Victoria Hislop, un nouveau roman flamboyant et émouvant, porté par des personnages féminins lumineux, dotés d’un courage sans faille.

De la colline de l’Acropole aux rives brûlantes de Crète, entre 1940 et nos jours, l’itinéraire d’une héroïne d’exception, attirée par deux hommes aussi opposés qu’irrésistibles. Après L’Enfant du Titanic, un roman plein de mystère, d’aventures et de passion dans la lignée de Kate Morton et de Victoria Hislop.

1938. Invitée à rejoindre sa sœur à Athènes, la jeune et fougueuse Penny voit dans ce voyage l’occasion de rompre avec le carcan de la bonne société anglaise et de prendre enfin son indépendance.
C’est là, dans la riche cité antique, que son chemin croise celui de Bruce, un séduisant archéologue néo-zélandais.
Mais la guerre s’apprête à changer son destin…

Décidée à partager la lutte des Grecs contre les forces nazies, Penny se porte volontaire pour aider la Croix-Rouge en Crète et s’improvise infirmière dans un hôpital de fortune. Mais, tandis que la guerre fait rage, comment tenir sans nouvelles de Bruce, devenu résistant ? Comment protéger son amie Yolanda, jeune infirmière juive ? Et, surtout, comment ne pas céder à cette fascination pour Rainer, ce haut gradé allemand que le hasard ne cesse de mettre sur sa route ?

En 2001, alors que la Crète rend hommage à ses anciens combattants, une vieille femme s’apprête à redécouvrir une île quittée il y a bien longtemps. Et à livrer les derniers secrets de ces jours passés sous l’olivier …

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Ma Chronique. Livre lu dans le cadre du Our Pretty Book’s Club. Je pense que je ne l’aurais jamais lu sans le club. Mais, comme je venais de finir  » Le chant du rossignol » , livre choisi par mon propre club de lecture, qui traitait du même thème; j’ai eu du mal en entrer dans l’histoire. Ce n’est pas exactement la même histoire, mais presque, c’est une vieille dame anglaise qui raconte son histoire. Pourtant c’est tout aussi bouleversant que le chant du rossignol.

Penny est téméraire et refuse de se faire embarquer par sa mère dans les bals de débutantes pour lui trouver un mari. Quand sa soeur part vivre avec son mari en Grèce, elle saute sur l’occasion et l’accompagne afin de réaliser son rêve de devenir archéologue. Sauf qu’en 1938, la guerre plane au dessus d’eux et elle se retrouve vite à devoir faire un choix. Elle va décider de rester, d’utiliser son nom Grec, de se battre avec eux. Elle s’engage dans la Croix Rouge et montre à tous son courage en soignant des blessés dans des grottes en Crète. La bataille de Crète est très peu connue et j’ai trouvé ça très intéressant, de la part de l’auteure, de consacrer son roman à cette petite île, ses femmes et ses résistants. Penny est un personnage fort, poignant et avec beaucoup de caractère mais les personnages qui gravitent autour d’elle durant le roman sont tout aussi passionnants, il y a Bruce, le beau résistant dans Penny s’est épris, Rainer, le soldat allemand qui ne comprend pas les agissements de son peuple, Yolanda, l’amie Juive de Penny qui tente de s’en sortir. Comme beaucoup de roman historique, c’est une histoire passionnante et poignante, racontée par une vielle dame qui a souffert et qui ne peut oublier. Grâce à ces romans, nous non plus , nous n’oublierons jamais ce que nous n’avons pas vécu mais qui se doit d’être garder en mémoire grâce aux films et aux livres et aux témoignages. C’est également une histoire qui donne envie de découvrir la Grèce, la Crète et ses paysages magnifiques, ses ruines et ses souvenirs.

Malgré un début difficile où j’ai eu du mal en entrer dans l’histoire, je me suis attachée aux personnages et j’ai aimé cette histoire touchante, les dernières pages sont bien mieux par contre, si tout le roman avait été comme ça, ça aurait pu être un coup de coeur.

Qui m’appelle ainsi à venir retrouver l’île, ses senteurs de sauge et de citron, nos nuits méditerranéennes ? « Chaque amour a son propre paysage », n’ai-je pas lu cela un jour quelque part ?

Lisa - copie

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