Sinon, mon grand bonheur de lecture actuellement, c’est « Le Monde d’hier » de Stefan ZWEIG. Une autobiographie où il raconte non pas sa vie en tant que personne individuelle (moi, ma famille, mes amis), mais en tant que témoin de tout ce qui s’est passé, en gros de 1900 à 1940, allant de sa jeunesse heureuse à Vienne, de la guerre de 14-18, des années de crise et de dépression qui ont suivies, d’une période d’accalmie, jusqu’à la montée du nazisme, et son exil. C’est remarquablement écrit et ça remet en situation des choses qu’on a apprises à l’école, mais sans cette vision globalisante que ce témoin de ce siècle nous apporte.
En 1942, il s’est suicidé en exil.
J’aime bien la phrase sur la fuite du temps qui s’accélère avec les années qui passent.
C’est tellement vrai.
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Sinon, mon grand bonheur de lecture actuellement, c’est « Le Monde d’hier » de Stefan ZWEIG. Une autobiographie où il raconte non pas sa vie en tant que personne individuelle (moi, ma famille, mes amis), mais en tant que témoin de tout ce qui s’est passé, en gros de 1900 à 1940, allant de sa jeunesse heureuse à Vienne, de la guerre de 14-18, des années de crise et de dépression qui ont suivies, d’une période d’accalmie, jusqu’à la montée du nazisme, et son exil. C’est remarquablement écrit et ça remet en situation des choses qu’on a apprises à l’école, mais sans cette vision globalisante que ce témoin de ce siècle nous apporte.
En 1942, il s’est suicidé en exil.
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je ne connais pas du tout, mais je me le note, ça semble intéressant !
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J’aime bien la première, par contre comme je déteste la fuite, la seconde ne me parle pas trop…
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je peux comprendre 😦
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