Je viens de me remettre aux « Fleurs bleues », de Raymond QUENEAU, un de mes romans préférés de cet auteur, mais que j’avais délaissé depuis quelques années. Dans ce livre très construit, il y a des bonheurs d’inventions langagières.
Dès la première page, racontant les lambeaux de l’histoire qui s’effilochent, Queneau écrit ainsi:
» Des restes du passé trainaient ça et là. Les Huns préparaient des stèques tartares, les Gaulois fumaient une gitane, les Romains dessinaient des grecques, les sarrasins fauchaient de l’avoine, les Francs cherchaient des sols et les Alains regardaient cinq Ossètes. Les Normands buvaient du calva. »
Très bonne journée à toi et à tes lecteurs/lectrices, Petit Pingouin Vert.😀
Des citations très justes 🙂
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oui 🙂
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Je viens de me remettre aux « Fleurs bleues », de Raymond QUENEAU, un de mes romans préférés de cet auteur, mais que j’avais délaissé depuis quelques années. Dans ce livre très construit, il y a des bonheurs d’inventions langagières.
Dès la première page, racontant les lambeaux de l’histoire qui s’effilochent, Queneau écrit ainsi:
» Des restes du passé trainaient ça et là. Les Huns préparaient des stèques tartares, les Gaulois fumaient une gitane, les Romains dessinaient des grecques, les sarrasins fauchaient de l’avoine, les Francs cherchaient des sols et les Alains regardaient cinq Ossètes. Les Normands buvaient du calva. »
Très bonne journée à toi et à tes lecteurs/lectrices, Petit Pingouin Vert.😀
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