Zach Braff mon Idole !

Bonjour mes fruits de mer,

Aujourd’hui est un
jour spécial, puisque je vais vous parler de quelqu’un de particulier pour moi, Zachary Braff ! Mon idole, je l’ai découvert dans Scrubs (comme tout le monde j’imagine) et depuis je l’aiiiiiime ! 

Bonne lecture ❤

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Zachary Israel Braff, né le 6 avril 1975 à South Orange dans le New Jersey aux États-Unis, est un acteur, réalisateur, scénariste et producteur américain merveilleusement génial !

Il débute sa carrière en 1993 par des apparitions sur le petit (The Babysitters Club) et sur le grand écran (Meurtre mystérieux a Manhattan).

Mais c’est surtout grâce à son rôle de l’interne JD dans la sitcom absurde et surréaliste Scrubs, lancée en 2001 sur NBC, que sa carrière prend son envol.

Scrubs, la meilleure série de tous les temps à mon goût, elle est simplement géniale, légère, drôle, déjantée ! Bref Zach braff joue tellement bien le rôle de JD pendant 8 ans ! On ne s’en lasse pas !

MAIS il n’est pas seulement JD, c’est aussi un très bon réalisateur puisqu’en 2005 il réalise «  Garden State » avec brio.

L’histoire : « Acteur de télévision, Andrew  » Large  » Largeman est obligé de retourner dans son New Jersey natal pour l’enterrement de sa mère. Soudain, il se retrouve sans les antidépresseurs et les 3000 kilomètres qui le protégeaient de son histoire…

Après neuf ans d’absence, Large revoit son père, un vieil homme dominateur, mais aussi tous ceux avec qui il a grandi. Ils sont aujourd’hui fossoyeur, employé de fast-food ou magouilleur professionnel…

Sa rencontre avec la jolie Sam va le bouleverser encore un peu plus. Elle est son exacte contraire, vivante et audacieuse.

« Entre passé et futur, entre douleur et joie, Large va découvrir qu’il est peut-être temps de commencer à vivre… « 

Alors oui, c’est surement un film avec quelques défauts, mais cette oeuvre est touchante et sincère, Garden State, c’est surtout un poème. Ce n’est pas un film ambitieux, seulement l’histoire d’un mec un peu bizarre, tout le monde ne va pas aimer, il peut même être détesté mais moi j’adore. On peut admirer tout le talent et la sensibilité de Zach Braff.  Nathalie Portmann nous offre un personnage pétillant et névrosée, impossible de ne pas s’attacher immédiatement à ce brin de femme. Chaque scène est surprenante,  envoutante et décalée. A l’aide de ces scènes puissantes et marquantes, le réalisateur révèle de nombreuses vérités. Il montre des bonheurs simples et qui pourtant ont la force de cicatriser toutes les blessures, même les plus profondes. On se sent proche des personnages. Et en plus la bande son est géniale.

En bref, pour moi c’est un coup de maître pour le comédien Zach Braff qui fait ses début dans la mise en scène avec Garden State. Il dose parfaitement, l’humour décalé, le rêve, l’émotion et surtout l’immense sincérité dans ce film. Il nous donne envie de courir sous la pluie et de sauter à pied joint dans les flaques d’eau.

« – Tu mens souvent ? 

Qu’est ce que tu appelles souvent ? 

• Suffisamment pour être traité de menteuse »

10 ans plus tard, il revient avec un nouveau film « Wish i was here » qui est plus maîtrisé dans sa construction et plus mature que Garden State. Basé sur les relations familiales et les sentiments, il raconte les efforts d’un homme pour réussir sa carrière d’acteur et pour être plus présent pour ses enfants. Mais si vous n’avez pas aimé Garden State, vous pouvez passer votre chemin car je ne pense pas que vous puissiez aimer celui ci. La touche de Zach Braff étant quand même assez particulière…

Comme son premier film, il est d’une sensibilité inouïe, basé sur l’existence de la vie et toutes ces questions que l’on se pose. Doit-on faire passer en priorité ses rêves ou ses obligations familiales ? Comment être aimé par nos proches si nous ne correspondons pas à ce qu’ils attendent de nous ?

Zach Braff filme parfaitement les relations entre être humains, les conséquences de nos actes sur notre malheur ou bonheur.

En bref, nous retrouvons Zack Braff et son humour décalé et sa sincérité dans un film touchant et drôle qui expose les sentiments au grand jour.

Et c’est avec plaisir qu’on retrouve le fabuleux, le merveilleux , l’immense Zack Braaaafff (non non je ne suis pas une groupie… enfin peut-être un peu…)