Tom Costa est troqueur. Mais pas un rampant, non. En ce futur troublé, il survit. D’une ville-état à l’autre, à bord de son ULM, il chine et glane sa subsistance.
Et puis, il y a San, la douce, la lionne. La famille aussi.
Pourtant, venu du nord, un péril plus grand que les bandes de chiens sauvages, les hors-murs, la famine et les parias le guettent.
Agir, pour ne pas mourir. Tandis que, de là-haut, LES ETOILES S’EN BALANCENT…
Lu dans le cadre du Hold My SFFF Challenge, je me suis lancée dans ce roman surtout parce que le titre poétique m’a inspirée car je ne suis pas fan du post-apo. Et malheureusement ça n’a pas fonctionné non plus pour ce roman.

Je n’aime pas l’univers post-apocalyptique. Je n’ai pas vraiment de raison, juste que le sujet ne m’intéresse pas.
Dans ce roman particulièrement, la narration à la première personne m’a dérangée, je trouve qu’elle ne se prête pas à l’action. Tom Costa ne s’embarrasse pas de sentiments ou de belles tournures. Je comprends pourquoi : c’est un monde où il faut aller à l’essentiel. Mais du coup, ça ne m’a pas plu. L’histoire en elle-même est confuse, alors oui il y a des ennemis, une guerre, mais on ne sait pas trop contre qui. Et on ne connait pas les origines du conflit.
Quant à notre héros, Tom, je n’ai pas réussi à m’attacher à lui et j’ai suivi ses tracas avec ennui. Et malheureusement, la plume de l’auteur ne m’a pas conquise et j’ai lu en diagonale une bonne partie du roman.
Voilà une chronique encore plus petite que toutes les autres, mais je n’ai pas grand chose à en dire tant je me suis ennuyée pendant ma lecture.
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