Des Astres, de Séverine Vidal
Des astres. C’est un roman sur la relation mère-fille, relation qui peut prendre plusieurs formes. Le non-amour d’une mère, l’abandon d’une autre, les relation fusionnelles sans lien de sang. Des sujets sensibles et difficiles.
C’est un roman très fort et bouleversant, il nous prend aux tripes. On s’énerve beaucoup, surtout sur cette mère qui humilie sa fille en public. On s’émeut, on a peur, on s’inquiète. L’auteure nous embarque vite dans son histoire.
Pénélope et Romane sont abimées par la vie, par leur histoire. Il leur manque quelque chose à toutes les deux.
Un très bon roman sur les relations toxiques entre mère et fille et leurs conséquences. Et bien plus encore, d’autres thèmes sont abordés , encore plus poignants. C’est doux et violent à la fois. C’est puissant, on le lit quasi d’une traite . C’est d’un réalisme impressionnant. On ne ressort pas indemne de ce genre de lecture.
C’est un roman classé jeunesse mais je ne sais pas si je le mettrai dans des mains trop jeunes. Je dirais pas avant 15 ans quand même.
C’est l’histoire d’un humoriste en pleine gloire, adulé de tous, mais qui pense ne pas le mériter.
Un homme que tout le monde envie et
admire, mais que personne ne connaît vraiment.
Un homme blessé qui s’est accroché au rire comme on se cramponne à une bouée de sauvetage.
C’est aussi l’histoire d’un garçon qui aurait voulu un père plus présent.
Un garçon qui a grandi dans l’attente et l’incompréhension.
Un garçon qui a laissé la colère et le ressentiment le dévorer.
C’est une histoire de paillettes et de célébrité, mais, surtout, l’histoire d’un père et d’un fils à qui il aura fallu plus d’une vie pour se trouver.
Dans les années 1810, à Lyme Regis, sur la côte du Dorset battue par les vents, Mary Anning découvre ses premiers fossiles et se passionne pour ces « prodigieuses créatures » dont l’existence remet en question toutes les théories sur la création du monde. Très vite, la jeune fille issue d’un milieu modeste se heurte aux préjugés de la communauté scientifique. Celle-ci, exclusivement composée d’hommes, la cantonne dans un rôle de figuration.
Mary Anning trouve heureusement en Elisabeth Philpot une alliée inattendue. Cette vieille fille intelligente et acerbe, fascinée par les fossiles, l’accompagne dans ses explorations. Si leur amitié se double peu à peu d’une rivalité, elle reste leur meilleure arme face à l’hostilité générale.
Jean McClellan est docteure en neurosciences. Elle a passé sa vie dans un laboratoire de recherches, loin des mouvements protestataires qui ont enflammé son pays. Mais, désormais, même si elle le voulait, impossible de s’exprimer : comme toutes les femmes, elle est condamnée à un silence forcé, limitée à un quota de 100 mots par jour. En effet, le nouveau gouvernement en place, constitué d’un groupe fondamentaliste, a décidé d’abattre la figure de la femme moderne. Pourtant, quand le frère du Président fait une attaque, Jean est appelée à la rescousse. La récompense ? La possibilité de s’affranchir – et sa fille avec elle – de son quota de mots. Mais ce qu’elle va découvrir alors qu’elle recouvre la parole pourrait bien la laisser définitivement sans voix…
Christina Dalcher nous offre avec Vox un roman dystopique glaçant qui rend hommage au pouvoir des mots et du langage.
Beau bilan ! J’ai lu « Prodigieuses Créatures » il y a peut-être trois ans par hasard (je crois que je l’avais eu gratuitement en achetant deux folio) et j’avais beaucoup aimé ! Je m’étais beaucoup attachée à Mary Anning qui est une femme/personnage plutôt inspirante. J’espère que cette lecture te plaira autant qu’à mois 🙂
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j’ai hâte de decouvrir ce roman 🙂
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Toujours pas lu le Amélie Antoine qui me tente pourtant beaucoup !
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je suis en plein dedans ! Il est vraiment bien ! en tout cas pour l’instant !
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