« Quand on a que l’humour » c’est l’histoire bouleversante d’un père et son fils. D’un père humoriste et en pleine gloire qui pense ne pas mériter tout ce qui lui arrive. Un fils qui se sent abandonné par un papa trop souvent absent. L’un et l’autre peinent à se comprendre.
La première partie alterne entre le passé et le présent ce qui nous permet de bien apprendre à connaître Edouard Bresson, ancien bègue et futur humoriste adulé par la France entière. Un humoriste qui cache sa solitude et ses remords derrière des blagues.
Dans la deuxième partie, son fils, Arthur Bresson devient le narrateur et nous raconte sa version de l’histoire. La solitude d’un petit garçon qui a un papa toujours absent, l’impression que tout passera toujours avant lui, surtout son métier. Les disputes, l’incompréhension, l’éloignement.
On ne peut pas tout raconter, on ne pas en dire grand chose de ce roman. A part que l’empathie nous submerge dès les premières lignes. On ressent leur malheur, leur détresse, on voudrait leur crier d’agir autrement. Un style d’écriture incroyable qui te fait te sentir proche des personnages, proche de l’histoire. Un roman sur la culpabilité, les relations père-fils, les remords, la colère, l’incompréhension et le pardon; les émotions sont décrites à la perfection par l’auteure.
Je ne le savais pas avant d’avoir commencé ma chronique, mais je pense pouvoir l’affirmer maintenant ; c’est un énorme coup de cœur. Le premier de l’année, je commence fort. Un coup de cœur pour cette auteure que je ne connaissais pas et son style d’écriture doux et fluide. Un coup de cœur pour ses personnages tellement vrais , un coup de cœur pour l’histoire en elle-même qui est très touchante. J’ai ouvert ce livre par hasard, je ne m’attendais pas à ça. Récit poignant sans être larmoyant. C’est une pépite !
Bassiste de Preload, adulé par les fans, convoité par les filles, Jordan a tout pour lui. Il n’arrive pourtant pas à se défaire de ses angoisses existentielles, liées aux blessures de son enfance. Lorsqu’il voit danser Alexandra à travers la fenêtre de l’Opéra national, il est aussitôt envoûté. Mais rien n’est facile non plus pour la jolie ballerine, promise à une brillante carrière au prix de nombreux sacrifices.
Ils viennent de mondes différents, ils sont tous les deux tourmentés, mais ensemble, les obstacles ne semblent plus si insurmontables.
Faye a voué sa vie à Jack, elle a tout sacrifié pour lui. Mais lorsque Jack, coureur de jupons invétéré, la quitte pour une jeune collaboratrice, laissant Faye com
plètement démunie, l’amour fait place à la haine. La vengeance sera douce et impitoyable : il lui a tout pris, elle ne lui laissera rien.
La cage dorée me fait bien envie, de même que De l’influence de David Bowie des jeunes filles. J’ai commencé La Passe-miroir 4 =D
Passe un bon mois de février !
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hihi tu me diras ce que tu as pensé du tome 4 !
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Pour l’instant, j’aime beaucoup ! J’ai plein d’interrogations mais les réponses sont données petit à petit, c’est encore une fois très bien écrit =D
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ouii sa plume est parfaite !!
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J’espère lire le Amélie Antoine pendant mes vacances…
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je sais pas pourquoi je croyais que tu l’avais déjà lu ^^
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Tu es plus enthousiaste que moi pour le Amélie Antoine, même si j’ai tout de même bien aimé!
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